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Cie Impériale

Voici venu le Grand Tabazù !... Tout poilu des racines le connectant à des mondes suspendus, tout rempli de la folie humaine quand elle est prise par la fièvre de la transe...

Voici venu le Grand Tabazù !... Tout poilu des racines le connectant à des mondes suspendus, tout rempli de la folie humaine quand elle est prise par la fièvre de la transe...

Quand le réel devient trop aride, cet explorateur de nouveaux imaginaires arrive pour insuffler de la fraîcheur et ainsi pointer le bon sens de la fête.

C’est une créature fantastique, une masse orchestrale qui se dédie tout entière aux chants et musiques du monde en puisant dans ses traditions festives et populaires...

Une mosaïque composée d’une douzaine d’entités fusionnelles ! Grand Tabazù est le fruit de la passion de deux collectifs en libre évolution depuis de nombreuses années : la Cie Impérial et Mazalda. Et pour apporter un peu plus d’ampleur à cette union miraculeuse, quelques nouveaux satellites viennent graviter dans la galaxie du Tabazù !

Ces artistes aventureux partagent le goût pour les hybridations musicales à la fois complexes et accessibles. Dans les espaces publics ou sur les scènes des différents réseaux du spectacle toujours vivant, ils (re)découvrent et (ré)inventent des traditions musicales qu’ils offrent ensuite aux danseurs de tous horizons.

Ensemble, ils reprennent le chemin de l’acoustique pour aller encore plus au contact des gens.
En gaga stéphanois, le Tabazut est un fou, dans le sens de l’extravagance et de l’excitation
festive.

En créole imaginaire, le Tabazù est prophète en un pays sans limite. Il célèbre les humanités du monde entier avec une dimension solaire et généreuse. Il parcourt l’espace Afro-Atlantique en reprenant les allers-retours historiques des musiques d’ascendance
africaine entre le continent et les lieux de la diaspora. Il combine avec bonheur polyrythmies traditionnelles, harmoniques bigarrées et motifs contemporains... Sans oublier la puissance de l’instant qui se niche dans chaque improvisation.

L’orchestre pioche dans le savoir des musiques populaires, dans cette expérience ancestrale
de l’ancrage dans le présent, de l’expression des corps qui se mêlent et dans le lien constamment entretenu avec le surnaturel. Il participe à la créolisation joyeuse et festive de l’existence : les frontières, les oreilles et les âmes sont toutes ouvertes pour une grande
fête de village mondial.

Cette douzaine d’arpenteurs vient proposer ici un retour au grand air et aux sources de l’art populaire et fédérateur qu’est la musique... Un véritable brass band de l’espace (public), au langage universel !