Entête de page

Gesellschaft
Cie Impérial
Ort
Parvis du palais Universitaire
Fruit de l’union passionnelle entre deux collectifs musicaux de haut-vol, voici venu Le Grand Tabazu ! La Cie Impérial et Mazalda convolent en justes noces pour investir l’espace public avec leurs musiques à danser. Cette fanfare des temps modernes propose une relecture joyeuse et épique de musiques populaires de différentes ascendances. De la transe qui pense et qui s’offre à tout le monde pour une grande fête de village mondial.
Genre
Musique
Publikum
Tout public

Distribution artistique et technique

Artistes :

  • Stéphane Cézard, Banjo,
  • Gérald Chevillon, saxophone Basse,
  • Lou Lecaudey, Trombone,
  • Sébastien Finck, Percussions,
  • Aloïs Benoit, Trombone,
  • Grégoire Sanchez, Percussions,
  • Olivier Peysson, Percussions,
  • Damien Sabatier, Saxophone alto,
  • Régis Pons,Trompette,
  • Adrien Spirli, Soubassophone,
  • Lucas Spirli, Accordéon

Technique : Adrien Virat
Direction artistique : Adrien Spirli et Damien Sabatier 

Grand Tabazu est le fruit de la passion de deux collectifs en libre évolution depuis de nombreuses années : la Cie Impérial et Mazalda. Et pour apporter un peu plus d’ampleur à cette union miraculeuse, quelques nouveaux satellites viennent graviter dans la galaxie du Tabazu ! Ces artistes aventureux partagent le goût pour les hybridations musicales à la fois complexes et accessibles. Dans les espaces publics ou sur les scènes des différents réseaux du spectacle toujours vivant, ils (re)découvrent et (ré)inventent des traditions musicales qu’ils offrent ensuite aux danseurs de tous horizons. Ensemble, ils reprennent le chemin de l’acoustique pour aller encore plus au contact des gens. 
En gaga stéphanois, le Tabazut est un fou, dans le sens de l’extravagance et de l’excitation festive. En créole imaginaire, le Tabazu est prophète en un pays sans limite. Il célèbre les humanités du monde entier avec une dimension solaire et généreuse. Il parcourt l’espace Afro-Atlantique en reprenant les allers-retours historiques des musiques d’ascendance africaine entre le continent et les lieux de la diaspora. Il combine avec bonheur polyrythmies traditionnelles, harmoniques bigarrées et motifs contemporains... Sans oublier la puissance de l’instant qui se niche dans chaque improvisation. 
L’orchestre pioche dans le savoir des musiques populaires, dans cette expérience ancestrale de l’ancrage dans le présent, de l’expression des corps qui se mêlent et dans le lien constamment entretenu avec le surnaturel. Il participe à la créolisation joyeuse et festive de l’existence : les frontières, les oreilles et les âmes sont toutes ouvertes pour une grande fête de village mondial. Cette douzaine d’arpenteurs vient proposer ici un retour au grand air et aux sources de l’art populaire et fédérateur qu’est la musique... Un véritable brass band de l’espace (public), au langage universel.